Après deux longues heures dans le bus généreusement subventionné par l’Association des Anciens des Arts et Métiers, c’est vers 10h que nous sommes arrivés à Centrale Supélec (Metz).
Nous avons dans un premier temps assisté à une présentation générale de l’école avec des chiffres clés et les différents cursus disponibles, selon les différents campus.
Nous avons pu poser nos questions en grande partie lors de cet échange ; les questions plus précises ou personnelles seront à résoudre en s’informant sur le site internet.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers quelques ateliers de présentation. Chaque domaine et thème était abordé dans des salles différentes, et en particulier des salles exposant du matériel de pointe dans le domaine de l’optique et de l’acoustique. Une autre salle était dédiée à la présentation du deep learning, cette méthode numérique qui permet à partir d’une image et d’une base de données de distinguer les différents objets et espaces sur cette même image.
Quand est venue l’heure de manger, c’est sur le campus des Arts et Métiers que nous sommes allés.
Nous avons également pu échanger avec des étudiants qui nous ont présenté leurs projets. L’un des projets portait sur la reconstruction d’un modèle de voiture introuvable pour un club de passionnés. L’objectif est d’effectuer des recherches et de redimensionner des pièces avec l’aide d’entreprises du monde de l’automobile (ex : Renault) ou d’utiliser des techniques de réalité virtuelle pour se mouvoir autour d’une image virtuelle et obtenir des vues globales des différentes parties du véhicule, ou bien encore de parvenir à une solution technique réelle pour les besoins du client.
Dans les deux écoles, nous avons participé à quelques expériences faites par les professeurs et étudiants et nous avons assisté à la présentation de différentes infrastructures, comme une salle avec équipements pour réaliser des cours en simultané dans plusieurs campus Centrale, ou encore les grands ateliers et la forge des Arts et Métiers.
Cette journée a été très intéressante, enrichissante et surtout très motivante pour notre travail et notre engagement au cours de ces 2 ans de prépa CPGE afin d’atteindre ce type d’écoles d’ingénieurs. Seule petite ombre au tableau, nous n’avions pas suffisamment de temps dans chaque atelier pour échanger longuement avec les professeurs et étudiants.
